Un rêve peut-être
Le saule, c'est la première chose que l'on voit en arrivant devant le mur. Alors on lève les yeux, et paf, on la voit, offerte, abandonnée, délabrée et pourtant si charmante...
Les petites mésanges à longues queues n'y étaient plus aujourd'hui, mais le charme opérait quand-même. Des questions. Pourquoi vide? A qui appartient-elle? Que cache-t-elle? Querelle de famille, d'héritage? Flemme d'entreprendre? Et moi, qu'y puis-je? Vers qui me tourner pour essayer de faire avancer le schmilblick?
Pas de réponses... Alors un dernier clin d'oeil au grand pin et au deuxième saule... A bientôt peut-être?
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